Livia Gioeillo
Sexe : 
Messages : 10
Date d'inscription : 15/11/2010
Age : 30
Données du Personnage
TYPE DE FLAMME: Pluie
FAMILLE: Vongola } Varia.
 |  Sujet: Livia { La sale môme de la Varia.~  Lun 15 Nov - 19:12 | |
|
Feat Seychelles de Hetalia. | Livia Gioeillo.
• Alias : Livii. La Peste. Ragazza. Bambina di Squalo.
• Sexe: [ ♀ ]
• Âge & Date de naissance : 14 ans. Née le 24 Avril.
• Famille : Son père, transsexuel papa poule. Sa mère s'est cassée avec un vieux plein de sous et vit quelque part dans le sud des États-Unis. Elle a aussi un frère aîné, de dix-sept ans.
• Localisation : Accroché à Squalo. |
► Données & Compétences. . Varia.
• Rang : Elève auto-proclamée de Squalo. - Simple subordonnée.
• Arme : Son épée deux fois trois lourde. - Ses poings si besoin.
• Stylee de Combat : Corps-à-corps.
► Descriptions. . • Aspect psychologie :
• Franche • Désinvolte • Intelligente • Impertinente • Sensible • Double face •
Jeudi 02 Septembre 20XX. Journée.
« Tu me cherches ? »
Ton froid, poings serrés et yeux lançant des éclairs. Livia était en colère, pas besoin de la connaître pour le comprendre. On aurait dit une véritable gorgone venues tout droit des légendes anciennes. Son opposant sentit sa volonté flancher, mais se reprit en voyant les autres élèves de la Scuola di Mafia les entourer progressivement. Les combats avaient beau être interdits en dehors des heures de cours et des salles prévues à cet effet, voir deux gamins se tabasser avec leurs poings était assez amusant à regarder. Et les profs n'étaient pas dans le coin pour le moment.
« Alors ? T'as plus de langue ? »
Provocatrice, Livii afficha un petit rictus amusé et à la pointe de sadisme facilement détectable. Ce type la faisait chier. Et elle allait lui faire ravaler sa fierté de suicidaire aussi vite qu'elle n'était apparût. Encouragé par la présence du public, ce dernier serra les dents et cracha son venin à la figure de la brune.
« Et toi alors ? Tu t'es vue ? Tu te prend pour quoi, une héroïne, une wonder-woman ? T'es qu'une fille et pourtant tu crois que tu peux faire ta loi ici ? Rêve pas, t'es pas à ta place et ... »
Il ne finit pas sa phrase. Le poing de la jeune fille venait de percuter sa mâchoire avec un crochet du droit plutôt efficace. Son regard s'était assombri et le sourire mi-moqueur mi-sûre d'elle avait laissé place à des traits inexpressifs et froids comme la calotte glacière. Si d'ordinaire Livia était une fille d'un genre franc et naturel, la colère et l'impatience qui se tapissaient en elle faisait resurgir son côté plus bagarreur et provoquant. Sa voix s'éleva avec paresse, s'adressant pas seulement au petit crétin de première année téméraire qui se tenait la joue, mais à tout les garçons qui les observaient, la bouche ouverte de stupeur pour les plus jeunes, et un sourire amusé pour les dernières années, qui connaissaient depuis longtemps le caractère double face de la gamine.
« Ma place, c'est moi qui la choisie. Et s'il le faut, je la prendrai de force. J'suis pas une prétentieuse qui essaye de se faire plus grande que je ne le suis. J'suis moi et c'est tout. »
Elle tourna les talons, et ses traits se détendirent soudainement. Elle avait dit ce qu'elle avait à dire, c'était fini, on en parle plus et on redevient comme d'habitude. Livia se tourna vers ses camarades de classes. Elle leva le bras et afficha une expression gamine un peu naïve mais touchante, et avec un grand sourire :
« Qui qu'est partant pour faire le mur ? »
Mardi 19 Mai 20XX. - Matinée.
« VOIIII !!! Mais en quelle langue faut te le dire ?! »
Livia poussa un soupir à fendre l'âme et retira ses doigts de ses oreilles, qu'elle avait bouchée au préalable. Squalo la fixait avec un regard à la fois énervé et affligé. Comique de voir un requin complètement dépassé par les évènements, se dit la gamine avec un demi-sourire en coin, sans écouter le moins du monde les hurlements hystériques de son capitaine. Chose que ce dernier remarqua bien vite, et la veine palpitant sur son front palpita dangereusement.
« LIVIA !! Arrête de rêvasser quand je te cause ! »
« Nan. »
Clair net et précis. L'argenté crût bien qu'il allait la tuer cette foutue ragazza ! En même temps, il disait tout le temps ça, mais au final il lui faisait rien. Certes elle lui tenait tête comme jamais, se délectait des conneries qu'elle lui faisait subir et avait une put*in de gueule d'ange qui cache un caractère de chiottes. Dans ses meilleurs jours, elle pouvait être pire que Belphegor. Heureusement pour lui, elle y était pas toujours. I soupira, sa voix chargée d'exaspération, et se passa une main dans les cheveux. Ce qui arracha aussitôt un autre sourire, plus tendre cette fois, à la jeune fille. Il haussa un sourcil.
« Voi ! Quoi encore ? »
Plissement de yeux, pétillement de malice au fond des pupilles. Elle se préparait mais gardait un sérieux à toute épreuve. C'était moins drôle sinon.
« Tu sais que quand tu fais ça, on dirait Eva Longoria ? »
Silence. Un ange passa. Voyant la veine du front de son cher capitaine préféré revenir au grand galop, Livia décida de sortir sa meilleure arme : Son incroyable charme d'enfant. Elle pinça ses lèvres, se mit sur la pointe des pieds parce que mine de rien, elle est pas bien grande comparée à son supérieur, et avant que Squalo n'eut le temps de réagir, déposa un baiser sonore sur sa joue. Le requin devint rouge et prêt à exploser. Il ouvrit la bouche, mais Livii fut plus rapide et s'éloigna d'un pas sautillant, avant que l'épée de son capitaine n'ait le temps de lui frôler le cou, lançant d'une voix suintant la fierté :
« Bon ben je vais m'entraîner. A plus tard Taishô ! »
Re-silence. On n'entendait plus dans le couloir que le rire de la fraîche adolescente, empli d'une certaine joie à la sonorité victorieuse. Elle avait encore gagné. Manipulatrice ? Peut-être ... Mignonne ? Sûrement. Double face ? Assurément. La voix de l'argenté résonna jusqu'à ses oreilles alors qu'elle franchisai le pas de la porte.
« VOOOOIIII !!! Qu'est-ce que tu crois que tu fais ?! Reviens ici subordonnée de mes deux ! Ou je te tue ! »
Autant parler à un mur. D'ailleurs c'est ce qu'il faisait, vu que mademoiselle s'était déjà barrée. Enfin presque ... Dissimulée de l'autre côté de la porte, elle étira ses lèvres, le cœur battant, et ses joues se colorèrent d'un rose pâle comme un bouton de la fleur du même nom. Livia replaça une mèche de cheveux derrière ses oreilles, de la même manière que Squalo ne l'avait fait auparavant, et reprit sa route.
Samedi 02 Janvier 20XX. - Soirée.
L'enfant hurla. La puissance de ses cordes vocales fit retentir son glapissement, rappelant celui d'un animal effrayé, dans tout le dortoir. Les membres de la Varia qui partageait sa chambre se réveillèrent brusquement. La lumière fut allumée avec hâte, et les jeunes gens se regroupèrent près du lit de la jeune fille. Elle s'agitait dans son sommeil, la sueur couvrant son visage et mouillant son oreiller, ses bras battaient l'air comme si elle cherchait à attendre la surface d'un océan invisible, et son expression tordue de douleur et de peur avait de quoi faire flancher les cœurs des plus solides.
« Allez chercher les calmants ! Et le capitaine aussi ! Dîtes-lui que Livia recommence. »
On obéit. Les médicaments arrivent le plus vite, avant qu'un hurlement, de colère cette fois-ci, ne fasse vibrer les murs de la pièce. Ah, quelqu'un a été assez courageux pour aller réveiller Squalo ... En même temps, dans ce genre de cas de figure, il est bien le seul en mesure de calmer la gosse.
On essaye de prendre le corps frêle et pourtant entraîné de Livii. Elle se débat, les yeux obstinément clos et prisonniers de son cauchemar. On s'y mets à plusieurs pour la tenir, lui ouvrir de force la bouche. On enfonce les pilules dans sa gorge Elle se débat, cri, griffe. Puis soudain la porte s'ouvre à la volée, et la silhouette du capitaine de l'escouade apparaît.
« Qu'est-ce que vous foutez ?! C'est pas un spectacle, dégagez ! »
On obéit, alors que sur sa couche, Livia gémit, se tourne et se retourne. Squalo s'approche, contemplant le corps sans défense de la petite. Put*in ... Elle est vraiment chiante dans son genre. Il la prends par la nuque, soulevant sa tête et d'une voix ferme qui impose le respect et l'obéissance, lui ordonne de se calmer. Il a pas que ça à faire après tout ...
Aussitôt, Livia ouvre les yeux. Elle scrute les alentours, effarouchée comme un fauve blessée, son cœur battant la chamade. Elle croise finalement le regard ferme de son capitaine. Par réflexe, elle s'accroche à sa chemise et les larmes jaillissent sans prévenir de ses pupilles blanchies.
« Tai .... Tais ... Taishô ... »
Elle gémit, s'agrippe comme un gosse à sa mère. Le requin donnerai n'importe quoi pour être n'importe ou sauf là, mais malgré son exaspération, il reste. Il tend un calmant à la gamine, qui l'avale sans rechigner. Il ne lui faut que quelques minutes pour sombrer dans un sommeil sans rêve, murmurant le prénom de son supérieur comme sa Némésis. Le Superbia soupir de nouveau. Pourquoi grand dieu, supporte-t-il cette foutue ragazza malgré tout les problèmes qu'elle engendre ?
• Aspect physique :
« La fille Gioeillo ? Ouais, tout le monde la connait ici, c'est qu'elle a fait parler d'elle, et pas qu'en bien d'ailleurs. Mais c'est une gentille gamine, bien qu'il est pas rare qu'on la prenne pour un mec ! C'est sûr qu'elle est pas du genre à porter des robes est des trucs de filles celle-là ! Plutôt duu genre, à être la première à se jeter à plat ventre dans la boue pour les exercices, et la volontaire d'office pour les combats d'entraînements. En plus, ça la dérange pas plus que ça qu'on la masculinise un peu, ça la flatte presque. Pourtant même comme ça, elle reste mignonne à regarder. Être naturelle lui va mieux que se tartiner de maquillage. Pourtant elle a un joli visage, qui casse le mythe des gueules de mafieux couverts de cicatrices. Des traits fins et délicats, qui lui donnent un air juvénile sans pourtant la rendre trop enfantine. Mignonne petite ouais, dommage qu'elle soit si garçon manquée ... »
Professeur de la Scuola di Mafia.
« Ma petite Livii chérie ? Enfin je dis petite … Elle est plutôt du genre grande perche ! Et toute maigre avec ça, le médecin m'a même demandé quand elle avait neuf ans, si elle était anorexique, c'est vous dire. Pourtant elle a un sacré appétit cette enfant, à se demander où elle enfourne tout ça ... Mais c'est vrai qu'on peut la prendre pour un garçon, elle est pas vraiment dotée d'atouts féminins. Quand elle était môme, elle m'a dit que puisque c'est pas moi l'homme de la maison, ben se sera elle ! Si s'habiller comme un manant la dérange pas, en revanche le manque de formes la complexe un peu, alors mieux vaut ne pas lui en faire la remarque. C'est qu'elle est violente ma fille ... Au niveau de la peau en tout cas, on est pareil. Livia possède une peau d’un teint légèrement mat, qui pourrait paraître plus bronzée que naturellement ce pigment ne l’est. Comme son papounet ! D’ailleurs, la couleur de son épiderme vire souvent d’un beige assez foncé à un marron clair assez prononcé. En général elle garde une couleur uniformément de couleur à mi-chemin entre le marron et le blanc ; mélange donnant donc la couleur de peau basanée. »
Père de Livia.
« Pour ce qui est de ses cheveux, ceux de Livia sont d’une couleur châtain cacao, tirant légèrement vers l’acajou clair. Une mèche pas tout à fait qualifiable de frange vient passer devant son front. Ils sont beaux, pourtant Dieu sait qu'elle en prend pas soin de sa tignasse ! On l'a jamais vue avec les cheveux lâchés, elle se les attachent toujours, tant par soucis pratique que par paresse de se les coiffer. Deux queues de cheval basses qui lui tombent dans le creux des omoplates. Ses yeux sont d’une couleur foncée à mi-chemin entre du jaune très sale et du terre de sienne profond. On peut aussi croire y distinguer quelques éclats ambrés autour de l’iris mais en réalité, il s’agit de reflets. Enfin je crois ... Jamais personne s'est amusé à aller regarder Livia dans le blanc des yeux, ont est pas suicidaires. »
Camarade d'escadron de Livia.
« Livii ? C'est sûr que c'est un vraie crevette la frangine ! Pas de poitrine, trop maigre, on dirait qu'elle va s'envoler au moindre coup de vent. Au moins elle peut se vanter d'avoir un beau visage. Comme moi. Des traits fins, un nez retroussé et un cou gracile. Un menton finement taillé, délicatement terminé de manière à lui faire un visage affiné sans être creusé. Des épaules arrondies tirées vers le bas ... Par contre qu'et-ce qu'elle est musclée, elle a une force pas féminine, mais pas du tout ! Le mieux chez elle ? Sa bouche. un bouton de rose fraîche, étiré en un doux sourire à la tournure malicieuse et composé de lèvres pâles un peu charnues. Elles ont le goût de mandarine. Comment je le sais ? Hehehe c'est un s-e-c-r-e-t ! »
Frère de Livia
► Biographie . • Histoire :
« Naaaaaan !! J'iras pas ! »
« Cesse de faire l'enfant Livia ... »
« Je SUIS une enfant, tête d'abruti congénital ! »
La remarque, certes ponctuée d'une insulte dont on aurait aisément pût se passer, fit toutefois mouche. C'est vrai que c'était qu'une gamine, mais justement. C'était maintenant ou jamais pour elle, alors le fait qu'elle ait huit ans importait peu sur le moment. Son père soupira, désabusé, et relâcha sa gamine. En revanche, cette dernière ne lâcha pas le moins du monde le poteau auquel elle était agrippée depuis plus d'une heure, refusant catégoriquement tout argument de la part de son géniteur. C'est vrai quoi ! Elle avait pas envie d'aller dans un pensionnat, avec un nom bizarre en plus, et de quitter son frangin, sa maison et sa Rome natale. Qu'il aille au diable le transsexuel transit d'amour !
« Romyyyy ... Help please ... » Supplia celui qui était censé être le chef de cette famille de dégénérés.
Le jeune garçon, de quatre ans plus âgé que la petiote, ouvrit un œil paresseusement. Il considéra la situation rapidement, et se leva du mur ou il était adossé depuis que tout ce cirque avait commencé. Il s'approcha de sa cadette, et posa une main sur sa tête, appuyant à peine. Effet immédiat, la gamine cessa de brailler des « J'irais pas » et « J'vais appeler la DAS moi ! » et ouvrit ses grands yeux boudeurs pour les plonger dans les pupilles couleur d'or de son frère. Ce dernier s'accroupit pour être à sa hauteur et elle lâcha finalement son poteau quand il la prit délicatement par le cou pour l'approcher de son visage.
« Si tu y vas ... Si tu fais ta scolarité, si on peut appeler ça comme ça, là-bas, je te promets qu'on se mariera quand tu sera grande. »
« Pour de vrai ? » Demanda-t-elle avec des étoiles dans les yeux.
« Ouep. Et pour sceller cet accord ... »
Il entrouvrit délicatement ses lèvres pleines, accentuant la pression de ses doigts de pianistes sur le cou fragile de sa soeur et plissa ses yeux mi-clos. Doucement, il effectua une douce pression emplie d'amour innocent sur la bouche de Livia, qui se prit aussitôt au jeu et entoura à son tour le cou de son aîné, s'accrochant à lui comme à une bouée de sauvetage. Le plus étrange dans cette scène était probablement le fait que le père des deux incestueux, les regardaient avec une tendresse émue. Famille de fous ...
Finalement, Roméo s'écarta pour laisser la petite respirer et lui offrit un sourire amusé. L'autre y répondit en riant et quitta les bras de son frangin pour sauter sur le dos de son paternel.
« Bon ben on y va ? A la Scuola chais-pas-quoi ... »
« Di Mafia chérie. Scuola di Mafia. » Corrigea le quarantenaire gentiment.
--------
La lourde épée de fer forgée vient s'écraser sur le sable du carré délimitant la zone extérieure numéro 4 d'entraînement. La jeune fille s'éponge le front du revers de la main, alors qu'un sillon de sueur lui coule le long de l'œil droit. Elle retire son t-shirt blanc simple, se retrouvant en simple brassière de sport, et donne un coup de pied dans le vide, faisant voler les grains de sables autour d'elle.
« Putana ! »
Deux ans avaient passés depuis l'entrée de Livia à l'école des mafieux, mais son vocabulaire ne s'en est pas amélioré, loin de là. En fait son caractère à empiré en grandissant. Elle se laissa tomber au sol, et appuya nonchalamment sa tête sur son genoux, semblant perdue dans ses pensées. Elle serra les dents et se mordilla la lèvre.
« Raaah ... Comment qu'il faisait Tyr machin-chose là ?! »
Elle en avait marre. Rien ne marche. Elle avait beau si mettre à fond, donner le meilleur d'elle-même dans l'entraînement, elle n'arrivait pas à manipuler cette chose. Son regard coula vers l'épée qui reposait près d'elle. Saleté ... Elle voyait pas ce qu'il y avait de bien à agiter ce bout de fer dans tout les sens, puisqu'elle ne comprenait pas sa propre arme. Elle était sans doute la honte des épéistes. Livia soupira et se pencha en arrière, étendant ses membres jusqu'à ce que son dos ne percute tranquillement le sol de la carrière. Son esprit fit un bon en arrière, remontant à l'époque de sa rencontre avec Incubo. Cauchemar, un nom qui convenait parfaitement à cette épée, car c'est ce qu'elle vivait actuellement.
Depuis qu'elle était entrée à la Scuola di Mafia, sa vie avait prit un tour radicalement différent. Elle était entrée dans un univers auparavant inconnu, ou sang, vengeance et combat se mêlaient indifféremment. Elle avait apprit beaucoup de choses, sur l'histoire des Famiglias. On lui avait apprit à se défendre, avec ou sans armes. Mais quand elle avait du choisir une spécialité, elle n'a jamais sût pourquoi, elle avait choisie une espèce d'épée de style médiévale, lourde et impossible à soulever pour une gamine de dix ans. Complètement stupide comme choix, c'est certain.
Depuis, elle pouvait passer des heures à essayer de comprendre comment qu'on faisait pour manier cette chose. Elle avait d'abord du faire un mois de musculation pour pouvoir parvenir à la soulever au-dessus de sa tête. Mais même maintenant, elle éprouvait des difficultés à manipuler Incubo. Elle s'était inspiré de celui étant réputé comme l'Empereur des Epées, Tyr .. Ou Tyl elle savait plus à vrai dire.
« Maah~ J'aurais mieux fait de me faire vire de l'école ... »
Le problème c'est qu'elle était douée. Enfin pas trop mauvaise du moins. Il n'empêche qu'elle cherchait toujours à comprendre pourquoi son abruti de paternel l'avait envoyée ici. Et comment, bon Dieu, connaissait-il cet univers sombre ?! Elle soupira et se frotta la tête, préférant éviter de trop réfléchir à tout ça. Elle avait mal au crâne à force, déjà qu'elle sentait pour la première fois des douleurs dans des muscles dont elle ignorait l'existence ... Ignorer l'existence .... ?
« C'est ça ! J'ai captée ! Enfin je crois ... »
Son problème c'était cela. Elle ignorait l'arme. Elle s'en servait, la faisait passer d'une main à l'autre et l'agitait de haute en bas. Il fallait qu'elle " ressente " Incubo. Qu'elle prenne conscience de sa présence, de son poids, de sa force de frappe. Livia se releva aussitôt la pensée formuler, ignorant les plaintes de ses tendons tendus au possible, et saisit l'arme à deux mains. Ses sourcils se froncèrent. Elle avait l'air stupide mais s'en fichait totalement actuellement.
« Écoute toi. Je me fiche pas mal que tu sois un objet. T'as buté des gens avec tes anciens propriétaires, et t'as sauvée des vies. Alors maintenant, t'es ma partenaire. Ok ? Putana j'dois vraiment passer pour une cinglée maintenant ... » Ajouta-t-elle a voix basse.
Livia inspira profondément, et dévia son regard vers les mannequins de paille et de bois qui l'entouraient. Au boulot !
--------
Un soupir franchit les lèvres de l'adolescente. Ras le bol de faire les papiers avec le capitaine ! Elle avait envie de sortir, mais nul doute que Squalo ne la laisserait pas fuir si facilement. Il était assez sévère dans son genre, même si c'était trop facile de le faire sortir de ses gonds. Puis, mine de rien, il prenait soin de ses subordonnés. Ou du moins les plus prometteurs, parce qu'elle l'avait déjà vue trancher des sous-fifres sous le coup de la colère. Le tout était de savoir choisir les moments où l'emmerde, et ceux ou il valait mieux se tenir le plus loin possible.
« Taishô ? On va faire ça encore longtemps ? »
« VOII ! Ferme-là et bosse ! »
« C'est pas parce que vous êtes le petit chien du Boss que vous pouvez essayer de parler comme lui ... Bon ben je vais voir ce que font les autres ! »
« VOOOOIII !! Reviens-ci fichue gamine ! Ou je te tranche en quatre ! »
Mais oui mais oui ... Il lui avait pas sauvé la vie pour la voir crever un an après son intégration dans l'escouade des assassins Vongola. Quoi c'était donc si surprenant que ça que le requin sauve quelqu'un ? Faut dire que s'il avait pas été là ... Ben ouais, elle serait morte. Quelle idée aussi de prendre des types louches en filature ! Elle avait pas été intelligente sur ce coup, c'est clair. La jeune fille quitta la pièce en ignorant les hurlements de son supérieur. Des souvenirs peu agréable lui revenaient à l'esprit. Les cris de souffrances, le sang qui gicle, les armes qui s'entrechoquent ... Et elle au milieu de tout ça, comme une idiote pas à sa place, son épée à la main. Elle avait fait de son mieux, s'était battue, avait tranchée de la chaire humaine. Mais sans Squalo, Mammon et Lussuria venu pour une mission bien rentable, elle serait morte.
Livia franchit la porte, quittant la chaleur intérieur du manoir pour se retrouver à l'extérieur. Au final, elle était encore aujourd'hui incapable de dire si avoir intégrer les rangs du Second de Xanxus était une bonne ou mauvaise chose. En même temps, elle s'était limite imposée comme élève de ce dernier. Limite. Un nouveau soupir franchit ses lèvres, pas vierges pour autant. Tiens en parlant de cela, faudrait qu'elle appele son frère et son père bientôt ... ça faisait longtemps.
Elle entendait maintenant le bruit d'armes s'entrechoquant avec force. Apparemment, les autres membres de l'escouade s'entraînaient. Sa main se posa sur la garde d'Incubo, qui reposait contre sa hanche comme toujours. Un peu d'exercice ne lui fera pas de mal ...
« Yo les gars ! »
« Oh ! Livia, t'as finis ton travail avec le Capitaine ? »
« J'l'ai abandonnée à la moitié ... » Fit-elle en baillant.
« Hein ? C'est pas parce que t'es la favorite que tu dois te comporter aussi familièrement avec lui ! Et ça nous retomber dessus après ... »
« Ouais ouais ... »
Elle sourit et tira son épée de son fourreau, sourire aux lèvres. Finalement, être mafieuse ce n'était pas si horrible.
--------
Dix ans passèrent. De tout ce temps, Livia resta sous les ordres de Squalo. Elle progressait doucement, effectuant des missions avec plus ou moins de brio. Ses liens avec l'escadron se resserrèrent clairement, et l'expérience lui apprit à ne plus pleurer chaque pertes de compagnons d'armes qu'elle subissait. Pas à pas, Livia quitta l'enfance pour devenir une jeune femme, certes toujours aussi désinvolte qu'au commencement, mais plus mature est responsable toutefois. Elle changeait. Et avec des Millefiore dans son quotidien, sa survie n'en dépendait que d'avantage
• Relations :
 | Roméo } Hentai Aniki.
Mon frangin ... et mon premier amour. Oui bon ok je sais ! C'était de l'inceste, mais innocent hein ! On se bisoutait c'est tout. Enfin ... Y a bien eut la fois ou il était bourré et qu'il ma mise en sou-tifs, mais ça compte pas ! |
 | Superbi Squalo } Princess Taishô.
Han. Le Capt'ain ? Il est con, bruyant et sûr de lui. Non sérieux, c'est une idée aussi de se laisser pousser les cheveux juste pour tenir une promesse ! Moi j'ferai jamais ça. Mais c'est vrai que Squ-chan (lui dîtes pas que je l'appelle comme ça) il est beau. Puis fort aussi. Puis ben ... J'l'aime bien quoi. Après tout, c'est lui qui m'a récupéré à ma sortie de la Scuola di Mafia. Au fond, les requins aussi sont gentils. Bon ok au début ni lui ni moi ne voulions bosser ensemble, pas mon genre d'obéir bien sagement à un sadique qui ressemble à une princesse. Mais bon, après j'ai pas eus trop le choix. Et paf, me voilà dans son escadron de varia, avec mon uniforme pourri. Mais ouais, j'l'aime bien. Un peu trop p'têtre ... Non enlevez-ça !! |
 | Xanxus } Suprême Boss.
Lui c'est le Big Boss. Scary-sama de son surnom. Mais jamais j'oserai dire ça à haute voix, qu'il soit là où pas. Parce que mon dieu, il est flippant ce type ! Squalo il gueule mais ça faitt rire. Lui il balance un " déchet " à l'assemblée et on entends une mouche voler. Et puis moi, j'suis juste sous-fifre, alors pour lui je suis ... un déchet. Comme tout le monde quoi. Le truc que j'aime bien par contre chez le Boss, c'est comment qu'il gère le Taishô. J'suis pas la seule à le maltraiter apparemment (sauf que quand j'emmerde Squ'chan, je risque mon job, ma vie et mon honneur, pas Xanxus) |
 | Mammon} Chibi Bouille.
Baka Baby ! Pourquoi t'es mort hein ? C'est nul que t'es plus là dans le futur, je les fait avec qui mes parties de poker maintenant ? Mammon ... Crétin de bébé joufflu ! Explique-moi l'interrêt de t'insulter si t'es plus là pour me balancer des tentacules illusoires à la figure ? T'es bête de t'être suicider ... |
► Ten Yers Later. . 24 ans.
• Famille: Aucune nouvelle de sa mère. Son frère est mort.
• Type de flamme : Fiamma di Pioggia.
• Ltocalisation : Là ou les Millefiores se cachent.
• Physique :
• Boxs :
 | Gazza dela Pioggia } Aquarella.
La pie est par définition simplifié, un oiseau noir et blanc qui est attiré par tout ce qui brille. sauf que Aquarella c'est plus que ça. Déjà c'est ma confidente et ma partenaire de connerie, toujours là pour me filer un coup de main, que ce soit pour botter le cul des Millefiore ou emmerder le Taishô. Par contre son requin à lui il est chiant, il essaye toujours de bouffer ma Pie. En contrepartie, elle adore confondre Squalo avec un nid ambulant ... Le problème c'est que mademoiselle est une sacré voleuse. Sa proie préférée ? Probablement le diadème du type de la Tempête là ... Prince the Ripper. J'essaye de la contrôler parce que sinon, je risque de la retrouver embrocher au bout d'un couteau ... En matière de combat, Aquarella diffuse des flammes de la pluie, afin d'apaiser les muscles des ennemis jusqu'à les mettre au repos total et éteint les flammes adverses. |
|
• Codes : ~ Codes Validés par Belbel ~
• Autre : Je souhaiterai savoir si le fait que mon personnage ait un certaine lien avec Squalo, étant sa subordonnée, posait problèmes. Si oui, dîtes le moi tout de suite que je fasse des modifications nécessaires. =)
|
Dernière édition par Livia Gioeillo le Mar 16 Nov - 12:56, édité 1 fois | |
|
